Certaines musiques, de type « adagio », nous donnent envie de chanter, de pleurer, alors que d’autres nous entraînent irrésistiblement à nous mouvoir et sont plutôt de type « allegro ».
Cette différence d’essence est-elle due au tempo de la musique, à son rythme plus ou moins perceptible, ou est-ce notre cerveau qui, par les différentes relations privilégiées qu’il établit entre ses régions motrices et les zones
auditives, met en oeuvre une symphonie chorégraphique incontrôlable et euphorisante ?
Bernard Arbus, pianiste et conférencier, aborde toutes ces questions à travers différentes oeuvres du répertoire pianistique, de Jean-Philippe Rameau à Bela Bartok ou Astor Piazzolla.
Situation : En centre-ville